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Massif central, Sardaigne (2011)
Une randonnée à vélo de 5 mois durant l'automne et l'hiver 2011. Comme en 2010, l'idée est de suivre autant que possible des petits chemins.
Le périple est l'occasion de tester du matériel sur la durée, en particulier les vélos Cyclo-randonnée, dont sont équipés Elen et Julien (un modèle Deore et un modèle XT). Deux enfants de 2 et 5 ans sont transportés comme en 2010 dans deux remorques Single Trailer, ce qui permet de suivre de petits sentiers. Une jeune fille de 13 ans roule avec un VTT de 24 pouces équipé pour le voyage.
Comme durant les précédents périples, le site continue de fonctionner normalement, les expéditions restent assurées comme d'habitude par Manue, de même que les retours, les SAV, etc. Julien répond quotidiennement aux emails pour les questions techniques ou en cas de problème avec une commande, cela grâce à un pc portable alimenté par un panneau solaire Flexcell, et à une connection internet mobile.
L'idée est de traverser le Massif central durant l'automne, puis de prendre prendre le bateau à Marseille afin de faire le tour de la Sardaigne pendant l'hiver.
Les conditions du voyage sont relativement difficiles, c'est la première fois que nous partons tout un hiver.
Le couvert des arbres coupe le phénomène de rosée de façon sensible, ce qui évite d'avoir la tente trempée de condensation le matin.
Les pluies sont heureusement rarement continues, il s'agit le plus souvent d'averses, on évite de s'arrêter pour ne pas avoir froid.
Sur les petits chemins, les enfants marchent le plus souvent, les jeux ne manquent pas.
L'entraide est de mise dans les dénivelés.
Nous ne roulons que quelques heures par jour, ce qui laisse beaucoup de temps aux enfants pour explorer leur environnement.
Partant en mi-saison, il nous faut traverser le Massif central assez rapidement, les températures froides peuvent arriver rapidement, surtout en altitude.
Les bivouacs sont plutôt vus avec bienveillance.
Nous suivons en partie l'itinéraire de la Grande Traversée du Massif central (GTMC), globalement orientée nord-sud.
Nous passons le massif du Cézallier avant de redescendre sur la Margeride.
La Margeride est une région peu connue du Massif central.
Nous nous faisons surprendre par un épisode cévenol, un phénomène fréquent en fin de saison, avec plusieurs jours de pluie et de vents violents. Des innondations bloquent les routes et empêchent tout bivouac, nous prenons le train à Marvejol pour rejoindre le port de Marseille.
Les ports de Méditerranée offrent un grand nombre de possibilités pour le voyageur à vélo, le transport des vélos ne pose aucun problème.
Premiers pas en Sardaigne.
Le temps change très vite sur une île.
Les villages sont la plupart du temps construits sur les hauteurs.
Comme dans toute l'Italie, le bar est une institution en Sardaigne.
La proximité d'un nuraghe est souvent bon signe pour trouver un bivouac, ils sont généralement dans des endroits assez isolés, au sommet des montagnes.
Hors-saison, la côte peut être complètement déserte.
Après Cagliari, nous remontons par la côte ouest de l'île.
La distance entre deux points d'eau peut être importante.
Les bergers sont omniprésents en Sardaigne, l'île est couverte de brebis partout où il y a de l'herbe, ce qui incite d'ailleurs les conducteurs à la prudence.
Les endroits caillouteux offrent moins de possibilité pour le bivouac.
Nombre de routes et chemins indiqués sur les cartes routières n'existent pas. Nous nous aidons d'anciennes cartes topographiques en noir et blanc, très détaillées, sur le GPS.
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Le périple est l'occasion de tester du matériel sur la durée, en particulier les vélos Cyclo-randonnée, dont sont équipés Elen et Julien (un modèle Deore et un modèle XT). Deux enfants de 2 et 5 ans sont transportés comme en 2010 dans deux remorques Single Trailer, ce qui permet de suivre de petits sentiers. Une jeune fille de 13 ans roule avec un VTT de 24 pouces équipé pour le voyage.
Comme durant les précédents périples, le site continue de fonctionner normalement, les expéditions restent assurées comme d'habitude par Manue, de même que les retours, les SAV, etc. Julien répond quotidiennement aux emails pour les questions techniques ou en cas de problème avec une commande, cela grâce à un pc portable alimenté par un panneau solaire Flexcell, et à une connection internet mobile.
L'idée est de traverser le Massif central durant l'automne, puis de prendre prendre le bateau à Marseille afin de faire le tour de la Sardaigne pendant l'hiver.
Les conditions du voyage sont relativement difficiles, c'est la première fois que nous partons tout un hiver.
Le couvert des arbres coupe le phénomène de rosée de façon sensible, ce qui évite d'avoir la tente trempée de condensation le matin.
Les pluies sont heureusement rarement continues, il s'agit le plus souvent d'averses, on évite de s'arrêter pour ne pas avoir froid.
Sur les petits chemins, les enfants marchent le plus souvent, les jeux ne manquent pas.
L'entraide est de mise dans les dénivelés.
Nous ne roulons que quelques heures par jour, ce qui laisse beaucoup de temps aux enfants pour explorer leur environnement.
Partant en mi-saison, il nous faut traverser le Massif central assez rapidement, les températures froides peuvent arriver rapidement, surtout en altitude.
Les bivouacs sont plutôt vus avec bienveillance.
Nous suivons en partie l'itinéraire de la Grande Traversée du Massif central (GTMC), globalement orientée nord-sud.
Nous passons le massif du Cézallier avant de redescendre sur la Margeride.
La Margeride est une région peu connue du Massif central.
Nous nous faisons surprendre par un épisode cévenol, un phénomène fréquent en fin de saison, avec plusieurs jours de pluie et de vents violents. Des innondations bloquent les routes et empêchent tout bivouac, nous prenons le train à Marvejol pour rejoindre le port de Marseille.
Les ports de Méditerranée offrent un grand nombre de possibilités pour le voyageur à vélo, le transport des vélos ne pose aucun problème.
Premiers pas en Sardaigne.
Le temps change très vite sur une île.
Les villages sont la plupart du temps construits sur les hauteurs.
Comme dans toute l'Italie, le bar est une institution en Sardaigne.
La proximité d'un nuraghe est souvent bon signe pour trouver un bivouac, ils sont généralement dans des endroits assez isolés, au sommet des montagnes.
Hors-saison, la côte peut être complètement déserte.
Après Cagliari, nous remontons par la côte ouest de l'île.
La distance entre deux points d'eau peut être importante.
Les bergers sont omniprésents en Sardaigne, l'île est couverte de brebis partout où il y a de l'herbe, ce qui incite d'ailleurs les conducteurs à la prudence.
Les endroits caillouteux offrent moins de possibilité pour le bivouac.
Nombre de routes et chemins indiqués sur les cartes routières n'existent pas. Nous nous aidons d'anciennes cartes topographiques en noir et blanc, très détaillées, sur le GPS.
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